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N O S
C
O U P S
D E C O E U R S
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J
E
S U
I S
C H A R
L I E
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D
O C U M E N T A I R E
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R N E S T O G U E V A R A
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S
A N S P A P I E R S • NI
KARCHER NI CHARTER
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GILLES
PERRET
Depuis
1999, Gilles PERRET consacre sa caméra à la HAUTE-SAVOIE.
Documentariste préoccupé par les problématiques
économiques et sociales, il compte à son actif
une dizaine de longs métrages militants et provocateurs
dont «
T.I.R.-toi
du Mont-Blanc »,
«
8 clos à
Evian»
et «
Ça
chauffe sur les Alpes».
Remarqué par le corrosif «
Ma mondialisation
»,
portrait d'un entrepreneur hors normes diffusé en 2006
sur Arte et France 3, le réalisateur suscite régulièrement
le débat.
En
2013, il nous raconte la rédaction du programme du Conseil
National de la Résistance intitulé magnfiquement
: « Les
Jours Heureux ». Ce programme est encore au coeur du système
social français puisqu'il a donné naissance à
la sécurité sociale, aux retraites par répartition,
aux comité d'entreprises, etc.
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Robert
GUÉDIGUIAN
Issu
d'un milieu populaire, Robert GUÉDIGUIAN s'intéresse
aux questions politiques. Le grand public découvre le cinéaste
avec l'optimiste « Marius et Jeannette », romance
en milieu ouvrier. Tout en restant fidèle à la cité
phocéenne, Robert GUÉDIGUIAN s'essaie à différents
genres, du film noir (« A la place du coeur ») à
la fable (« Mon père est ingénieur »)
ou au film social (« La ville est tranquille »).
Robert GUÉDIGUIAN est l'auteur
en 2002 d'un vibrant mélodrame, « Marie-Jo et ses
deux amours ». Il change radicalement de thème en
2004 avec une évocation des derniers jours de MITTERAND
dans « Le Promeneur du Champ de Mars ». En 2005, il
joue dans « Crustacés et coquillages » et «
Le Voyage en Arménie » l'année suivante. En
2008, il change de genre et réalise « Lady Jane »,
un polar très réussi où l'on retrouve la
patte du réalisateur, ainsi que ses acteurs fétiches,
Ariane ASCARIDE et Jean-Pierre DARROUSSIN en tête. En 2009,
il s'attaque à un sujet ambitieux, l'histoire des résistants
du clan MANOUKIAN, dans « L' armée du crime ».
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Coline
SERREAU
Coline
SERREAU possède un bagage artistique étendu puisqu'elle
a effectué des études de Lettres, a fréquenté
le conservatoire de musique, l’école du cirque
d'Annie FRATELLINI (où elle apprend le trapèze).
Elle a fait aussi de la danse classique et moderne.
En
1975, elle se lance dans la réalisation cinématographique
et connaît un vrai succès auprès de la critique
en 1977 avec son second film Pourquoi pas !, qui traite d'un
trio amoureux composé de deux hommes vivant en couple
et de leur amie commune.
En
1985, Trois hommes et un couffin apparaît sur les écrans
de cinéma. Avec plus de 12 millions d'entrées,
il compte parmi les records du nombre d'entrées pour
un film français. Elle réalise ensuite Romuald
et Juliette, La Crise, La Belle Verte, Chaos, 18 ans après,
Saint-Jacques... La Mecque et Solutions locales pour un désordre
global en 2010.
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Les
frères Jean Pierre et Luc DARDENNE
réalisateurs belge
Militants
et soucieux des problèmes sociaux qui les entourent,
les frères DARDENNE ont réalisé ensemble
de nombreux documentaires depuis les années 1970. Forts
de cette expérience, ils passent au long métrage
de fiction en 1986 avec «
Falsch
», portrait du dernier survivant
d'une famille juive exterminée durant l'Holocauste. Suivront
« Je pense à vous
», puis «
La Promesse
» qui obtient en 1995 le prix
du Meilleur film belge de l'année.
Les
préoccupations des Dardenne tournent autour de la condition
sociale. Le Festival de CANNES reste l'hôte de tous leurs
films, qui y sont distingués à chaque fois : «
Le
Fils
», l'«
Enfant
» et «
Le Silence de Lorna
»...
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GILLES
ELIE DIT COSAQUE
Gilles
ELIE DITY COSAQUE est réalisateur, photographe et graphiste.
Après une carrière dans la publicité il se
positionne comme directeur artistique free lance et réalisateur.
En
2000 La série de films courts Kamo, diffusée sur
RFO et Voyage, le pousse dans une direction plus humaine et a
été une sorte de déclic pour de nombreux
projets aux ANTILLES, tel que des documentaires comme «
Ma grena et moi
».
En
2003, il se lance dans la création de sa structure de production,
La Maison Garage , afin de mener à bien des projets plus
personnels.
La
Maison Garage |
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KEN
LOACH réalisateur
anglais
Réalisateur
lucide et engagé, Ken LOACH s'impose comme le fondateur
de la vague néo-réaliste du cinéma britannique.
Observateur
du monde contemporain, il dénonce des réalités
sociales comme dans «
Raining Stones
» qui raconte les difficultés
d'un homme à payer la robe de communion de sa fille, «
My Name is Joe
», celles d'un ancien alcoolique,
«
Navigators
», celles des cheminots anglais à
l'heure de la privatisation, ou encore, «
Sweet Sixteen
», celles d'un adolescent sans argent qui
se sacrifie pour sa famille. On doit aussi à Ken LOACH,
le magnifique «
Land and Freedom
» sur la guerre d'Espagne. Dans «
Just a Kiss
» et «
It' s a Free World
», Ken LOACH aborde le délicat
thème de l'immigration. |
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MIKE
LEIGH
réalisateur anglais
La
critique voit en Leigh un entomologiste de la société
anglaise. Son sens de l'observation se retrouve dans son travail
derrière la camera, qu'il appréhende à l'instar
d'un portraitiste, croquant des personnages inédits dans
une société qu'il montre sans détour, comme
l'attestent « High Hopes » ou «
Naked
». Sa sensibilité auprès des femmes
se remarque pour «
Secrets et mensonge
», modèle du genre, qui lui vaut
la Palme d'or à Cannes en 1996. Il est aussi à l'origine
de projets plus légers tels que «
Deux filles d'aujourd' hui
», ou «
Be Happy
». |
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